Novembre déjà, le jardin veut de la pluie et non des pleurs. Ton savoir bruiner m’étonnerait : tu échoues à enluminer. À quelle usure, une simple chandelle au pauvre mitan du jour ? Une lueur jaillit par du verre ébiselé, effilée en simili jeûnes et...
Un crissement sur la neige gelée Un cristal cerise : mensonge, surbrillance, lanière ? Ai-je gelé ?
Ma chaise préférée sait des choses que j’ignore faute de linéaments. Assis sur elle, elle me presse à les dire. Mais j’ai ma dignité : je ne dis que ce que je veux. Alors, la nuit, peut-être de rage, je l’entends grincer des barreaux.
https://short-edition.com/fr/oeuvre/poetik/gogyoka-a-la-vieillesse-de-nos-enfants sans publicité parasite
La dame a confit son visage de figue oubliée au soleil. Les parfums, les couleurs n’ont plus besoin de varier. L’accroc au châle signe évidemment la prestance naturelle. Ses mèches revêches s’imaginent en lierre à pendeloques. On ne voit plus d’elle que...
Désolé, je n'ai pas reçu le courriel envoyé via Over-blog qui m'a assuré de son existence
L’hiver s’est fait doux comme une excuse Les robes de sapins, bien que de fêtes seraient de deuil. Les fêlures avaient explosé seules, sans le gel. Novembre à Paris avait la mort pour muse Décembre est resté timide sur le seuil.
Donne-moi de cueillirdeux brassées de ta viepour en faire un tapisoù je puisse dormir Donne-moi de goûterau silence des fleursqui jaillissent voûtéesmême sous la chaleur deviens un souvenirretenu arc-boutéau-dessus de mes peurs laisse-moi redouterd’arriver...
Si la publicité vous cache la page, c'est que je n'ai pas mis de poèmes en ligne assez vite, assez souvent. Les blogues gratuits sont des Molochs boulimiques. Désolé : il y a des bonnes extensions de navigation pour cacher tout cela.
J'aime cette goutte de rosée ici elle se glisse en cette rose-là par pure convenance personnelle oui en ajoutant une beauté à cette beauté-là sans demander au moindre pétale non d'être un étendard claquant de ci de là au-dessus du moindre de ses gibe...
Accédant aux cadences d’antan, tu étends ta tendance dans ce stand d’Ostende te tendant des ganses, Teddy, tu danses andante les tendons détendus dans l’intendance à distance des crédences de Lens qui te tance, quand tu penses à l’aisance…. C’est dit,...
Je vais quitter overblog, ses publicités etc… Vous me retrouverez ici : https://short-edition.com/fr/oeuvre/poetik/gogyoka-de-la-seve-hebetee
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