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20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 04:15

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« We of the craft are all crazy, some are affected by gaiety, others by melancholy, but all are more or less touched » (Lord Byron).

 Ce qui doit vouloir dire :

 

« Oui, comme du kraft, les aréoles du Crazy’, sommaire pour fêter la gaîté, aux airbags mêlant des coolies en bataille à des mauresques toutes sèches » (alors, buvons !) 

 

Ce qui revient à dire :

 « Roulés dans du papier crissant, pigeons et gogos voyagent au pays de leurs Alice ; ils reviendront à leurs jeunesses, un soir venu, un autre soir, bien sûrs d’eux, bague au doigt, affichant une fidélité proverbiale aux roucoulements familiaux ; puis, ils dormiront. » 

 

Ce qui à son tour revient à dire :

 « Enroulés dans la nuit, nous les sentons se grimer, pleurer sous le rire, nous dont voir est le métier à tisser des histoires quand leurs masques tombés, les danseuses en manteaux, nous choisissons dans la farce de ces folles échappées de quoi affecter une Reine des Sabbats au lever de ses matins laborieux. »

 

Ce qui à son tour revient à dire :

« Sur notre métier à tisser les histoires, nos navettes s’affolent, autant danseuses débridées qu’époux modèles : une obscurité les voile, nous déroute vers où nos mots trouvent l’empire de leur sens. »

 

Ce qui à son tour revient à dire :

 « Dans ce métier, on est tous fous, bons pour l’asile, les uns s'agitent de gaîté, les autres broient du noir, mais tous, sont plus ou moins affectés » (Lord Byron).

 

Ou si vous préférez :

« We of the craft are all crazy, some are affected by gaiety, others by melancholy, but all are more or less touched » (Lord Byron).

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